Ma petite anthologie succincte et capricieuse de la poésie
L'Oulipo.
Le cheval Parthénon s'énerve sur sa frise
Depuis
que lord Elgin négligea ses naseaux
Le
turc de ce temps là pataugeait dans sa crise
Il
chantait tout de même oui mais il chantait faux.
Le
cheval Parthénon frissonnait sous la brise
Quand
se carbonisait la fureur des châteaux
Nous
avions aussi froid que nus sur la banquise
Lorsque
pour nous distraire y plantions nos tréteaux.
Du
Gange au Malabar le lord anglais zozote
Comme
à Chandernagor le mendiant sent la crotte
Lorsqu'il
voit la gadoue il cherche le purin.
On
mettait sans façon ses plus infectes loques
Cela
considérant Ô lecteur tu suffoques
Mais
rien ne vaut grillé le morceau de boudin.
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Parmi les cent mille milliards de poèmes, il y a le vôtre unique, rien qu'à vous. Vous voulez le connaître? Rien de plus simple, il suffit de me le demander.
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Parmi les cent mille milliards de poèmes, il y a le vôtre unique, rien qu'à vous. Vous voulez le connaître? Rien de plus simple, il suffit de me le demander.
Vous
me donnez une série de chiffres de I à XIV. Il me faut les XIV
quelque soit leur ordre. A chaque chiffre romain vous associez un
chiffre de 1 à 10.
ex :
II-7, VIII-5 , XI-1… Il me faut les XIV associés à un chiffre de
1 à 10. Et laissez parler votre génie oulipesque.
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