Duel
au soleil (1949) King Vidor
G.
Peck, J. Jones, J. Cotten
Scott
Chavez est condamné à la pendaison pour avoir assassiné sa femme,
Indienne, qui multipliait les aventures extra-conjugales. Avant de
mourir, il confie sa fille, Pearl, à une ancienne amie, Laura Belle
McCanles, installée dans un ranch texan avec son mari, Jackson,
sénateur infirme, et ses deux fils, Jesse et Lewt. Pearl est fort
mal accueillie par le père, mais plaît immédiatement aux deux
frères.
Jesse, un gentleman, garde ses sentiments pour lui alors que son cadet Lewt, un voyou sans scrupules, cherche assitôt à séduire la jeune fille. Pearl, qui a promis à son père de devenir une jeune fille honorable, résistera autant qu'elle peut avant de céder à Lewt…
Jesse, un gentleman, garde ses sentiments pour lui alors que son cadet Lewt, un voyou sans scrupules, cherche assitôt à séduire la jeune fille. Pearl, qui a promis à son père de devenir une jeune fille honorable, résistera autant qu'elle peut avant de céder à Lewt…
Superbe
film où les sentiments
sont exacerbés jusqu'à devenir ‘’bigger than life’’.
Jennifer Jones est inoubliable (ce
film est un grand cri d’amour de son mari le producteur David O
Selznick).
Gregory Peck en mauvais garçon est étonnant. La passion amoureuse,
folle et sensuelle, mélange de fascination et répulsion, entre les
deux amants qu'ils interprètent demeure l'aspect le plus sublime de
ce beau, grandiose et somptueux western. Le final, exceptionnel, n'a
rien perdu de sa puissance. On
peut trouver
ce film un peu trop mélodramatique, ce qui, entre autres, constitue
sa force. On
peut y voir également
des éléments similaires à Autant en emporte le vent dont
David
O. Selznick est également
le
producteur. Mais
ce
film est plus intéressant dans la mesure où il peut être vu plus
comme un grand drame shakespearien que
comme un
western.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire