Django
unchained – Quentin Tarentino (2013)
Jamis
Foxx, Christoph Waltz, Leonardo di Caprio
Dans
le sud des États-Unis, deux ans avant la guerre de Sécession, le Dr
King Schultz, un chasseur de primes allemand, fait l’acquisition de
Django, un esclave qui peut l’aider à traquer les frères Brittle,
les meurtriers qu’il recherche. Schultz promet à Django de lui
rendre sa liberté lorsqu’il aura capturé les Brittle – morts ou
vifs.
Alors que les deux hommes pistent les dangereux criminels, Django n’oublie pas que son seul but est de retrouver Broomhilda, sa femme, dont il fut séparé à cause du commerce des esclaves…
Lorsque Django et Schultz arrivent dans l’immense plantation du puissant Calvin Candie, ils éveillent les soupçons de Stephen, un esclave qui sert Candie et a toute sa confiance. Le moindre de leurs mouvements est désormais épié par une dangereuse organisation de plus en plus proche… Si Django et Schultz veulent espérer s’enfuir avec Broomhilda, ils vont devoir choisir entre l’indépendance et la solidarité, entre le sacrifice et la survie…
Alors que les deux hommes pistent les dangereux criminels, Django n’oublie pas que son seul but est de retrouver Broomhilda, sa femme, dont il fut séparé à cause du commerce des esclaves…
Lorsque Django et Schultz arrivent dans l’immense plantation du puissant Calvin Candie, ils éveillent les soupçons de Stephen, un esclave qui sert Candie et a toute sa confiance. Le moindre de leurs mouvements est désormais épié par une dangereuse organisation de plus en plus proche… Si Django et Schultz veulent espérer s’enfuir avec Broomhilda, ils vont devoir choisir entre l’indépendance et la solidarité, entre le sacrifice et la survie…
Ce
brillant hommage aux westerns-spaghettis est signé par un Tarantino
en pleine forme. C'est brut, déjanté, violent, ça tire et
éclabousse de partout, des dialogues aux petits oignons ponctués
d'humour, une BO audacieuse qui mélange les genres, des costumes et
des décors soignés, soit 2h45 jubilatoires de grand cinéma. Et
quelle distribution : Jamie Foxx juste parfait, Leonardo DiCaprio
magnifiquement salaud/sadique, Samuel L. Jackson odieux en serviteur
raciste, mais la palme revient assurément à un Christoph Waltz tout
simplement fantastique. J'adore les westerns et celui-ci en est un
pur chef d'oeuvre.
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