Du
vertige libertin qui envahit la poésie française au XVIe
siècle jusqu'aux blasons amoureux des surréalistes, de l'érotisme
le plus feutré à la pornographie la plus exacerbée, on trouvera
ici, quelques poèmes, un petit aperçu de la volupté sous toutes
ses facettes. Un florilège du chavirement, explorant le territoire
amoureux dans sa dimension toujours renouvelée.
De Ronsard à Rimbaud, de Verlaine à Genet, de Louise Labé à Joyce Mansour, de Sade à Bataille, de Jouve à Calaferte, de Pierre Louÿs à Franck Venaille, de Michel Leiris à Bernard Noël, ils disent ici l'incroyable besoin d'impudeur qui parfois les saisit. Ils disent les jeux de la langue et du sexe, avec toutes leurs saveurs, du sucré au salé, de l'implicite à l'explicite, entraînent le lecteur à célébrer Éros en tous ses fastes, lumineux, sombres ou hilarants. Commençons par un des plus célèbres, plus poésie galante que véritablement érotique : "Le mot et la chose" de l'abbé de Lattaignant. Lu par Daniel Mesguich.
De Ronsard à Rimbaud, de Verlaine à Genet, de Louise Labé à Joyce Mansour, de Sade à Bataille, de Jouve à Calaferte, de Pierre Louÿs à Franck Venaille, de Michel Leiris à Bernard Noël, ils disent ici l'incroyable besoin d'impudeur qui parfois les saisit. Ils disent les jeux de la langue et du sexe, avec toutes leurs saveurs, du sucré au salé, de l'implicite à l'explicite, entraînent le lecteur à célébrer Éros en tous ses fastes, lumineux, sombres ou hilarants. Commençons par un des plus célèbres, plus poésie galante que véritablement érotique : "Le mot et la chose" de l'abbé de Lattaignant. Lu par Daniel Mesguich.
On doit également à l'abbé de Lattaignant "J'ai du bon tabac" que l'on peut lire au second degré... Ah ces abbés libertins du 18ème siècle...
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