vendredi 30 septembre 2016
jeudi 29 septembre 2016
Vous faisiez quoi avant? Chanteuse au PZ ! suite
Le
Piano Zinc c'est pas une boite, même pas un endroit, à peine un
bar, c'est un lieu! Trois niveaux. Un bar en rez de chaussée. Une
salle d'une dizaine de mètres de profondeur. Deux mètres de large
en partie bouffés par le bar, un vrai, en zinc. Un escalier part
tout de suite sur la droite. Sur le mur une Piaf nous offre ses yeux
noirs et sa bouche sanglante. Au retour de l'escalier Marilyn Monroe
et Jane Russell nous disent avec un clin d'oeil que les hommes
préfèrent les blondes. Je pense qu'ici les bruns moustachus doivent
avoir aussi leur chance. Un deuxième escalier conduit aussi vers les
sous-sols. Pour y arriver il faut se glisser entre les tabourets de
bar et le mur où Fred Astaire enlace Ginger Rogers dans un
tourbillon de taffetas et de plumes d'autruche. Ensuite d'autres
escaliers entraînent vers un deuxième sous-sol. On y croise Mae
West et George Chakiris dansant sur fond de buildings du West Side.
Autre bar à six, sept mètres sous la surface. L'ambiance plus
confinée, chaleureuse est propice aux confessions, à la séduction
plus qu'à la drague, on y refait son monde et demain y semble
infiniment loin... Mais tout cela serait banal et de peu d'intérêt
s'il n' y avait l'entre deux.
L'entre
deux c'est une pièce de 20m² environ. Des murs peints encore. Une
autre Marilyn blonde et vaporeuse, Mae West, Mistinguett, Gene Kelly
et Frank Sinatra en marins dans ''On the town'' et le visage
tremblant d'émotion de Judy Garland dans ''A star is born''. Un bar.
Trois spots au plafond. Un piano et des partitions en classeur, en
vrac, empilées... et une minuscule scène d'à peine 1m² surélevée
de dix centimètres. Le principe est simple et gonflé. Qui veut
chante.
Quand
j'arrive au Piano pour la première fois ce soir là ,le bar du rez
de chaussée est plein. Musique disco. Derrière le bar officient un
barman à la moustache fournie et une walkyrie blonde! Grégoire me
prend par le coude et file vers l'escalier de droite. Une voix et des
notes de piano montent du sous-sol. Je passe devant Edith Piaf,
L'escalier tourne et j'ai une vue plongeante sur la salle. Sur la
petite estrade un mec d'environ 35/40 ans chante Cabaret d’ Paris en allemand. ''C'est le
patron. Il est allemand'' me glisse Grégoire à l'oreille. La voix
est belle, forte. Il y a là une cinquantaine de personnes
serrées comme des sardines. La chanson finie ça applaudit à tout
rompre. Et lui : '' Merci, Merci! Mais si vous m'applaudissez si fort
c'est que vous n'avez pas de verre dans les mains. Je vous rappelle
que le bar est ouvert....et que les toilettes sont mo-no-places'' Il se tourne vers le pianiste, fouille
dans son classeur de partitions et attaque ''Pigalle''. ''Je me tire
j'ai un rencart'' me dit Grégoire. Je commande un demi, je paye et
je vais me mettre dans un coin de la salle où il y a une petite
tablette pour poser mon verre. Et je regarde et j'écoute. Epanoui et
heureux comme dit l'autre chanteur, celui que j'aime moins que
Bécaud!
Et
ça se succède sur la scène. Un latino un peu enveloppé ,aux yeux
de velours, aux cils longs comme des balayettes chante ''New York New
York'' avec une voix d'enfer et un beau vibrato. Un beau blond suit
avec Trenet, ''Je chante'', tout ce que j'aime. Il enchaîne avec
''le Clown'' de Gianni Esposito; on devine qu'il a pris des cours de
théatre; c'est''vécu''. Il deviendra un de mes amis. Un grand type
avec une queue de cheval attaque ''l'Air du froid'' du Roi Arthur.
Quand un chanteur dérape en remontant les Champs Elysées à la fin
de sa chanson le public scande ''Une autre, une autre, une autre …
chanteuse...''et tout le monde se marre à commencer par lui. Et ça
continue comme ça jusqu'à deux heures du matin. On sent
charnellement le plaisir et le bonheur qui baignent cet espace. La
clôture c'est le patron, J. d'après ce que j'ai entendu, qui la
fait avec ''Lili Marleen''. '' Bonsoir, merci à Daniel notre
pianiste, à demain. Ne faîtes pas de bruit en sortant. Pensez au
sommeil des voisins''. Les gens s'éparpillent entre les bars du rez
de chaussée ou sous sol. D'autres restent là autour du piano. Et
moi j'en reviens pas. Cela fait presque 4 heures que je suis là.
J'ai pas dit un mot, j'ai pas bougé sauf pour aller chercher mes
bières. Je me suis pas emmerdé une seconde. Je suis heureux! Je
rentre chez moi rue Saint Martin à 300 mètres de là le cœur
léger! Je n'irai pas sur l'Ile de la Cité ce soir!
Pendant
15 jours je serai là tous les soirs de 22heures à 2 heures du matin
au même endroit avec le même plaisir. Le patron qui surveille son
business s'approche de moi un soir.
''Salut.
Moi c'est J. Et toi?''
''Renaud''
''Ca
fait plusieurs jours que je te vois ici. Tu aimes? ''
''Beaucoup.
Je trouve ça super''
''J'ai
trouvé cette idée à New York. Une boîte qui s'appelait ''Don't
tell mama''. A mon retour à Paris j'ai voulu essayer de faire la
même chose''
''Bravo.
Ca a l'air de bien marcher''
''Oui
, pas mal mais j'ai un problème.''
''??''
''
Je manque de chanteurs! Tu aimes chanter toi?''
''Comme
tout le monde. Mais compte pas sur moi. Pas question!!''
''
Tu aimes qui comme chanteurs?''
''
Trenet et puis Trenet, Félix Leclerc, Bécaud...''
''Super''
''Pas
question''
''Tu
bois quoi?''...
Il
a mis deux jours à me convaincre.
Et
un soir je me suis retrouvé avec lui sur la scène. En duo. Trenet.
''Que reste-t-il de nos amours''.
3'35
de bonheur après j'étais chanteur au Piano Zinc. On m'avait
applaudi. Putain je l'ai fait me suis-je dit in petto.
''Tu
vois ça s'est bien passé. Qu'est-ce que tu bois?''
''Un
demi''
''Un
demi pour Renaud''
Je
venais de toucher mon premier cachet.
Pendant
plus de dix ans je n'allais pas augmenter mes tarifs.
mercredi 28 septembre 2016
mardi 27 septembre 2016
lundi 26 septembre 2016
Vous faisiez quoi avant? Chanteuse au PZ !
«
Chouchoune! Enlève tes ''semises'' et tes ''sauchettes'' de la
fenêtre. Fais les ''chesser'' ailleurs! Et d'abord c'est
interdit!''.
La
voix de baryton martin au léger accent teuton résonne dans
l'étroitesse de la rue des Blancs Manteaux.
''S'il
continue à gueuler comme ça je chante pas ce soir! ''
Comment
en étais je arrivé à me faire apostropher ainsi parce que mon
appartement juste au dessus de sa boîte n'avait pas de fenêtre sur
cour pour faire sécher mon petit linge!!
Flash
back !
Quelques
années plus tôt, fin juin 1981! J'habite rue St Martin un grand
studio! Ma fenêtre donne sur la Piazza et les escalators de
Beaubourg. Je me suis installé là en 76 avec Detlef (voir Detlef1 , Detlef 2, Detlef 3, Detlef 4, Detlef 5. C'est luxueux
par rapport à la chambre où nous habitions depuis notre retour
d'Afrique, rue Princesse. Juste au dessus de chez Castel. Les
''people'' qui sortent de ces clubs privés font autant de bruit
sinon plus que n'importe quel pékin sortant d'une boite de nuit
lambda. Il y avait un habitué dans la rue Princesse. Hubert D., un
délicieux second rôle de nombreux films. Il déambulait la nuit
entre Guisarde, Princesse, Mabillon, St Michel. Il avait fait le
choix de l'alcool. Ce n'était pas un clodo; il n'avait pas besoin de
notre pièce! Il passait souvent la nuit rue Princesse. Je lui disais
bonsoir, il me répondait d'un sourire. Il parlait tout seul, on
saisissait parfois un ou deux vers d'un poème. Accoudé à la
balustrade de mon unique fenêtre, je le voyais passer. Il s'asseyait
parfois sur le rebord de la vitrine de la boutique d'affiches et de
posters juste en face de chez Castel, comme pour narguer certains de
ses anciens partenaires...Un soir je lui ai demandé :''Monsieur D.
vous ne me diriez pas un petit poème?'' Il a levé la tête , a
souri, dix secondes de silence et d'une voix un peu grasse :
''
Mais en vérité je l'attends
Avec
mon cœur avec mon âme
Et
sur le pont des Reviens-t'en
Si
jamais revient cette femme
Je
lui dirai Je suis content
Mon cœur et ma tête se vident
Tout
le ciel s'écoule par eux
Ô mes tonneaux des Danaïdes
Comment
faire pour être heureux
Comme
un petit enfant candide
Je
ne veux jamais l'oublier
Ma
colombe ma blanche rade
Ô marguerite exfoliée
Mon
île au loin ma Désirade
Ma
rose mon giroflier...''
''C'est
beau''
''Apollinaire.
La chanson du Mal-Aimé''
J'y
ai vu comme un début d'explication.
Le
lendemain j'allais à la Fnac rue de Rennes..
Notre
chambre rue Princesse était petite. Toute petite. On était obligé de manger
assis sur le lit. Pas de place pour les chaises. Elle nous était
louée, une fortune, par une vieille folle aristocratique qui se
piquait de littérature parce qu'il avait connu Maurice Sachs avant
guerre et venait de sortir un petit livre où il épinglait Roger
Peyrefitte. Il venait chercher son loyer en liquide tous les 30 du
mois. Il dévorait Detlef des yeux en minaudant. Detlef rigolait, ça
me foutait hors de moi. Mais qu'est ce qu'on a été heureux dans
cette piaule. En quelques mois j'ai claqué les économies de 4 ans
d'Afrique. Puis il a fallu bosser un peu. Un de mes copain, avocat,
avec qui j'avais fait mes études de Droit à Nice m'a pris dans son
cabinet. Ma principale activité était de courir après des
honoraires pas toujours très justifiés. Il ne me payait pas
beaucoup mais nous nourrissait royalement chez ses clients
restaurateurs. C'est lui qui m'avait trouvé ce studio rue St Martin que je devais
payer environ 250F par mois! On croit rêver!! Le passage de la Rive
Droite à la Rive Gauche nous fut fatal à Detlef et à moi. Surtout
à moi. Et on ne se sera jamais autant aimés qu'à partir de son
départ. Ceci est une autre histoire. En bref, je me retrouve seul,
je quitte mon avocat, je trouve un job et j'entame ma vie parisienne
qui m'amène en ce vendredi de fin juin 81.
Je
traine mes guêtres dans le Marais. Il doit être 21h30, la soirée
est douce et belle comme une soirée de juin à Paris peut l'être.
Il ne lui manque que d'être tendre. Le croisement des rues Vieille
du Temple et Sainte Croix de la Bretonnerie est quasiment interdit à
la circulation. Autour du ''Central'' les bars, restaurants,
boutiques de n'importe quoi ont poussé comme des champignons! Le
Central n'est pas plein. Il est tôt encore. Je m'accoude au bar. Un
demi! Mon regard glisse autour de la salle. Indifférent, forcément
indifférent. Ces raisins sont trop verts et bon pour des goujats!!
Quoique !!
Je
me plonge dans la lecture d'un magazine gay gratuit qui traine sur le
comptoir. Ma bière se réchauffe tout doucement. Une main se pose
sur mon épaule. ''Salut Renaud''. Je tourne la tête. C'est
Grégoire. Je l'ai rencontré il y a 3-4 ans à la Foire d'Alger. Il
est commercial export d'une boite de TP. On se croise de temps en
temps dans le Marais. Il a un charme incroyable, son visage respire
la joie de vivre. Fermée sa bouche sourit encore et ses yeux
rigolent même quand il parle des socialistes qui viennent d'arriver
au pouvoir. Nous nous sommes engueulés un jour à ce sujet. J'ai
compris. J'évite. Il s'installe sur le tabouret à ma droite donc.
Il commande un Perrier. Il ne boit pas, ne fume pas mais pour le
reste c'est un vrai stakhanoviste ! On dirait qu'il a peur de
manquer...Il est toujours sur un coup et quand il n'est pas dessus il
court après.
A
sa question, je réponds que je m'emmerde un peu. Les bars c'est pas
trop mon truc. Tout à l'heure j'irai faire un tour du côté de
l'ile de la Cité. On y trouve parfois des étrangers encore
sensibles au charme des quais de la Seine. Merci le cinéma ''Un
américain à Paris'', The last time I saw Paris'', ''Charade'',
''Gigi'', ''Can Can''...
''Tu
sais Renaud y a une boite qui vient d'ouvrir il y a une semaine rue
des Blancs Manteaux. C'est exactement ce qu'il te faut. Tu vas
adorer!''
''C'est
quoi comme genre?'' dis-je genre dubitatif.
''Tu
verras. Viens on y va''
On
sort, il est 22h30. On remonte la rue Sainte Croix de la Bretonnerie,
on tourne à droite rue des Archives, puis à gauche rue des Blancs
Manteaux.
''C'est
au combien?''
''Au
49 ''
''Et
elle s'appelle comment ta boite?''
''Le
Piano Zinc''
Je
ne savais pas que j'en prenais pour plus de 10 ans!
vendredi 23 septembre 2016
Les amants terribles - Romain Gary et Jean Seberg
C'est
à la fin de 1960, dans une réception au Consulat français de Los
Angeles qu'ils se rencontrent. Le coup de foudre est immédiat. Ils
décident très vite de vivre ensemble. Le fait qu'ils soient mariés
chacun de leur côté ne les arrête pas. Ils s'installent à Paris.
Jean Seberg divorcera l'année suivante de François Moreuil, un
avocat, réalisateur, play boy à ses heures . Romain Gary devra
attendre 1963 pour se séparer de sa femme l'écrivaine Lesley Bench.
En
1962 ils ont un fils, Alexandre Diego, Dès le divorce de Romain Gary
prononcé, pendant que les paparazzi se battent pour une photo de
Brigitte Bardot dans le ''Mépris'', ils se marient incognito dans un
petit villa ge de Corse. Il n'en reste qu'une photo.
Dans
les années 60 ils vont devenir le couple phare de la vie artistique
et intellectuelle de Paris ; elle transformée en grande
bourgeoise et lui en dandy excentrique. Les succès artistiques et
littéraires s'accumulent. Mais dès le début de leur relation
Romain Gary s'était rendu compte de la fragilité de son épouse,
déjà mise à mal dès le début de sa carrière par ses deux films,
sainte Jeanne et Bonjour Tristesse, où elle était dirigée par Otto
Preminger connu pour son exigence, sa dureté voire son sadisme avec
ses interprètes surtout féminines, et avait décidé de s'occuper
d'elle comme d'une enfant. Mais la personnalité de Jean Seberg
dérape, elle devient de plus en plus vulnérable. Elle s'engage
politiquement aux côtés des Black Panthers et devient la maîtresse
d'Hakim Jamal , cousin de Malcom X et psychopathe notoire. Le FBI
fait fuiter auprès d'une commère d'Hollywood que l'enfant qu'attend
Jean Seberg est de cet Hakim Jamal.
Elle dément, mais rien n'y fait.
Elle est suivie, harcelée par le FBI et les ragots. Dans le même
temps elle entame une procédure de divorce d'avec Gary tout en
continuant à vivre dans le même appartement divisé en deux. Mais
la pression est trop forte pour elle, Un mois avant le terme de sa
grossesse elle fait une tentative de suicide. L'enfant ne survivra
que trois jours. Il sera enterré dans un cercueil en verre pour bien
montrer qu'il était blanc.
Pour
protéger son ancienne compagne, Gary, dans un texte retentissant,
dénonce la presse à scandale et affirme que l'enfant était bien de
lui alors que le véritable père est Carlos Navarra, un étudiant
révolutionnaire rencontré lors d'un tournage au Mexique. Sombrant
dans la dépression, elle devient dépendante à l'alcool et aux
médicaments. Plusieurs fois hospitalisée et internée, elle est
victime de crises de démence et tente encore de se suicider. Ses
deux mariages suivants sont des naufrages dramatiques.
En
1972, elle épouse en troisièmes noces, après de nombreuses
liaisons, Dennis Berry, réalisateur et fils du musicien John Berry.
Son divorce avec Berry n'ayant pas encore été prononcé, le mariage
qu'elle contracte en mai 1979 avec Ahmed Hasni, n'a pas de force
légale. Hasni, Algérien mythomane lié à un trafic de stupéfiants,
souhaite devenir son agent, finit de la dépouiller financièrement
et la bat.
Le
30 août 1979, elle est portée disparue, son compagnon Ahmed Hasni
déclarant qu'elle avait quitté son appartement, nue sous son
manteau, avec pour seul bagage une bouteille d'eau. Son corps est
retrouvé le 8 septembre, enroulé dans une couverture à l'arrière
de sa Renault blanche près de son domicile. On a trouvé dans sa
main un mot d'adieu adressé à son fils Diego. Le rapport d'autopsie
indique qu'elle a succombé à une surdose massive de barbituriques
mais aussi d'alcool (8,2 g par litre de sang). Bien qu'avec une
telle alcoolémie, la personne devrait être dans un coma éthylique
et incapable de marcher et à fortiori de conduire, l'enquête de
police conclut au suicide. Effondré, Romain Gary accuse formellement
le FBI du meurtre de son ex femme.
Un
an après, après s'être couché, Romain Gary se tire une balle de
revolver dans la tête, Dans sa main une lettre où est écrit :''Rien
à voir avec Jean Seberg''.
Que
pouvait-il y avoir de commun entre
cette belle actrice blonde de 21 ans, nouvelle coqueluche d'Hollywood
et cet homme de 24 ans son aîné, aviateur,compagnon de la
Libération, écrivain, diplomate ? Peut-être la tristesse de
l'une, une tristesse confinant au tragique comme en écho au titre de
son premier film ''Bonjour tristesse'' ; et la solitude de
l'autre, qui avait écrit:''cette mauvaise solitude, celle qui vous écrase au lieu de
vous aider à respirer''.
jeudi 22 septembre 2016
Puzzle Roi joyeux est colère et n'est absolument pas d'accord...
Expulsé d'Arabie saoudite parce que trop beau et susceptible d'atteinte à l'ordre moral public.
Qui voudrait le bouter hors de France???
Chanteurs un peu oubliés Herbert Pagani Chez nous
Cet album est téléchargeable en intégralité sur You Tube! Précipitez vous... C'est culte... et tellement intelligent... Trop???
dimanche 18 septembre 2016
lundi 12 septembre 2016
Les chanteurs, un peu, oubliés - Miguel Amador
A cette époque, en..... j'ai oublié, des artistes de variétés suivaient le cirque Pinder dans sa tournée à travers la France. C'est là que j'ai vu Miguel Amador. Je m'en souviens encore. Il entrait sur la piste ronde sur un cheval noir dans un étincelant costume de cow boy (?) mexicain. J'en connais beaucoup qui seraient parti(e)s avec lui au bal aux Baléares...
dimanche 11 septembre 2016
samedi 10 septembre 2016
mardi 6 septembre 2016
Chanteurs, un peu, oubliés - Lucien Lupi
De l'opérette à la variété, Lucien Lupi avec sa superbe voix de baryton basse a été un de nos derniers grands chanteurs ''à voix''.
dimanche 4 septembre 2016
vendredi 2 septembre 2016
Puzzle Roi joyeux et trois images indélébiles de sa mémoire cinéphilique
Souvent gravées dans nos mémoires dès notre enfance, certaines images sont plus indélébiles que d'autres...
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