What’s
new Pussicat – Clive Donner (1965)
P.
Sellers, P. O Toole, R. Schneider
Michael
James, rédacteur en chef d'une revue féminine à Paris, est un
séducteur invétéré. Malgré son amour pour Carole Werner, il ne
peut ignorer les femmes avenantes qui l'entourent. Pensant qu'il a un
problème, il consulte le psychiatre Fritz Fassbender. Ironie du
sort, celui-ci souffre d'un complexe de frustration. Un ami de
Michael, Victor Shakapopulis, est transi d'amour pour Carole. Cette
dernière attend de Michael qu'il la demande en mariage. Mais
celui-ci rencontre tour à tour Liz et Renée. Excédée, Carole
décide de donner de faux espoirs à Victor dans le but de rendre
jaloux Michael.
Un
film culte des années soixante avec une production franco-américaine
et une réalisation anglaise mais également un des tout premier
scénario de Woody Allen qui fait aussi ses premières armes de
comédien. Au résultat, on a un sommet du burlesque, inventif,
spirituel et jamais vulgaire. La satire est pleine d’humour décalé,
les images sont explosives et les comédiens s’en donnent à coeur
joie. Peter O’Toole est excellent en séducteur dépassé par les
événements, Romy Schneider confirme tout son talent pour la
comédie, Capucine est délicieusement séductrice en nymphomane,
Pauila Prentiss impayable en suicidaire acharnée et Ursula Andress
toute en charmes dévoilés.
Rajoutons-y
la dernière demi-heure qui constitue l'un des sommets du burlesque
de ces année-là ; la
musique de Burt Bacharach, la
chanson éponyme chantée par Tom Jones.
Au
final on a un film sans autre prétention que de nous divertir en
nous amusant et qui y parvient pleinement.
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