Céleste Albaret - Monsieur Proust - ch. 27/31 - Le déracinement

 

Céleste Albaret

Monsieur Proust

ch. 27/31

Le déracinement

lu par Lara Suyeux

Céleste Albaret - Monsieur Proust - ch. 26/31 - Il était sûr de sa gloire

Céleste Albaret

Monsieur Proust

ch. 26/31

Il était sûr de sa gloire

lu par Lara Suyeux 

Prenons le temps de Trenet - 59 Fidèle (1971)

 

Prenons le temps de Trenet

C’est lundi ? Un coup de mou ?

Un Trenet et ça repart

59

Fidèle (1971)

par. et mus. C. Trenet

Céleste Albaret - Monsieur Proust - ch. 25/31 - Ce monsieur Gide avec ses airs de faux moine

 

Céleste Albaret

Monsieur Proust

ch. 25/31

Ce monsieur Gide avec ses airs de faux moine

lu par Lara Suyeux

Céleste Albaret - Monsieur Proust - ch. 24/31 - Le manuscrit refusé

 

Céleste Albaret

Monsieur Proust

ch. 24/31

Le manuscrit refusé

lu par Lara Suyeux

Céleste Albaret - Monsieur Proust - ch. 23/31 - Deux jours d’angoisse

Céleste Albaret

Monsieur Proust

ch. 23/31

Deux jours d’angoisse

lu par Lara Suyeux

A la manière de ... François Villon - La Ballade des dames du temps jadis

Ce délicieux pastiche de la Ballade des Dames du temps jadis de François Villon est l’œuvre de Henri Bellonay tiré de son livre Petite anthologie imaginaire de la poésie française.

Ce recueil de pastiches est un petit chef-d'œuvre. Un chef-d'œuvre léger. Un chef-d'œuvre en miniature. Un chef-d'œuvre paradoxal. La plupart des chefs-d'œuvre sont des machines un peu lourdes. Rien de plus aérien que les vers que vous allez lire. On les dirait suspendus à des fils invisibles. Et on doute de leur auteur… On y reviendra souvent.

Ce pastiche réjouira les amoureux du 7ème art

Ballade des étoiles du temps jadis

Dites-moi où n'en quel pays

Est Sophia la belle Loren,

Lollobrigida et Vitti,

Qui ne le lui cédaient qu'à peine,

BB aux bêtes tant amène,

Dessus banquise ou dans les champs,

Aux phoques donnant tendre aveine.

Où sont les Etoiles d'antan ?

Où est la fière Magnani

Qui primait tretoutes Romaines

Et qui cependant fut trahie

Pour une étrangère lointaine ?

Où sont les jambes de Marlène,

Où donc les beaux yeux de Morgan,

Arletty la courbevoisienne ?

Où sont les Etoiles d'antan ?

Où est Esther au corps poli

Au bal aimant mener sirènes,

Rita, Audrey, Barbara, Liz ?

Où est la soëve Marylène

Et celle-là qui fut la Reine,

Sous noirs miroirs ses yeux cachant ?

Autant en emporte Vivian.

Où sont les Etoiles d'antan ?

Princesses, clartés incertaines,

Nous vous regretterons souvent,

Faisant toudis demande vaine :

Où sont les Etoiles d'antan ?

Céleste Albaret - Monsieur Proust - ch. 22/31 - ‘’Céleste j’ai bien travaillé’’

 

Céleste Albaret

Monsieur Proust

ch. 22/31

‘’Céleste j’ai bien travaillé’’

lu par Lara Suyeux

Donne moi un Bécaud - 23 - La vente aux enchères (1971)

Donne moi un Bécaud

23

La vente aux enchères (1971)

par . P. Delanoe – mus. G. Bécaud

Céleste Albaret - Monsieur Proust - ch. 21/31 - Monsieur de Charlus

 

Céleste Albaret

Monsieur Proust

ch. 21/31

Monsieur de Charlus

lu par Lara Suyeux

Céleste Albaret - Monsieur Proust - ch. 20/31 - La course aux personnages

 

Céleste Albaret

Monsieur Proust

ch. 20/31

La course aux personnages

lu par Lara Suyeux

Quizz - Proust et le cinéma

A une ou deux questions près ce quizz ne devrait pas poser de problèmes aux spécialistes. Mais il y a tous les autres...
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Céleste Albaret - Monsieur Proust - ch. 19/31 - Des amis, pas d’amitié

Céleste Albaret

Monsieur Proust

ch. 19/31

Des amis, pas d’amitié

lu par Lara Suyeux 

Prenons le temps de Trenet - 58 - La famille musicienne (1963)

Prenons le temps de Trenet

C’est lundi ? Un coup de mou ?

Un Trenet et ça repart

58

La famille musicienne (1963)

par. et mus. C. Trenet

Poètes vos papiers - Arthur Rimbaud - Le bateau ivre

 

Poètes vos papiers

Arthur Rimbaud

Le bateau ivre

lu par Léo Ferré

Céleste Albaret - Monsieur Proust - ch. 18/31 - Tyrannique et méfiant

 

Céleste Albaret

Monsieur Proust

ch. 18/31

Tyrannique et méfiant

lu par Lara Suyeux

Les exploits de Nick Carter – Détective américain - Le perceur de coffres forts

Il n’y a rien à la télé ?

Ecoutez la radio

Les exploits de Nick Carter – Détective américain

14

Le perceur de coffres forts

RTF le 19 janvier 1962

Yvonne Printemps - Le pot pourri d'Alain Gerbault

 Yvonne Printemps épousa Sacha Guitry en 1919. Elle travailla exclusivement pour lui jusqu’en 1932. Couple étincelant qui devint incontournable dans la vie parisienne . Ce furent des années de triomphes, théâtre, music-hall, opérettes, comédies musicales, cinéma, de fêtes, de soirées extravagantes, de bijoux, de toilettes, de voitures, de petits chiens, de scandales dans les gazettes, d’amants et de scènes de ménage, de voyages triomphaux en Angleterre et aux Etas-Unis.

En 1925 Albert Willemetz et Maurice Yvain écrivent pour elle ‘’Le pot-pourri d’Alain Gerbault’’ (célébrité des années 20 parti faire en solitaire un tour du monde ultra médiatisé pour oublier un amour malheureux avec la tenniswoman Suzanne Lenglen). Ce fut un énorme succès ( plus de 200 000 exemplaires) On peut considérer que c’est le premier tube de l’histoire du disque.

Aujourd’hui encore cet enregistrement n’a rien perdu de son mystère ni la voix de son éclat.

Céleste Albaret - Monsieur Proust - ch. 17/31 - Il m’expliquait la politique

 

Céleste Albaret

Monsieur Proust

ch. 17/31

Il m’expliquait la politique

lu par Lara Suyeux

Miusiques proustiennes - Reynaldo Hahn - Le rossignol éperdu - Guillaume Gallienne

 Musiques proustiennes

Issues d’un album de la pianiste Shina Diluka, une vingtaine de pièces que Marcel Proust aurait aimées et a peut-être entendues dans les différents salons qu’il fréquentait. 

On y retrouve des œuvres de Reynaldo Hahn bien sûr, mais aussi de Claude Debussy, César Franck, Gabriel Fauré, Jules Massenet, Richard Wagner…

On retrouve ici encore un extrait du Rossignol éperdu, Les rêveries du Prince Eglantine qui accompagne la lecture par Guillaume Gallienne de l’épisode de la madeleine.

                                               

Images indélébiles - Music lovers -Ken Russel

Il y a des images qui marquent de façon indélébile notre mémoire cinématographique. 

Music Lovers 1970

de Ken Russell

avec Richard Chamberlain et Glenda Jackson

 

 Si un grand film est un film dont on se souvient des années, voire des décennies plus tard, alors Music Lovers est un grand film. Je l'ai vu au cinéma ''Le Paris'' à Nice en 1970. Son titre français était: ''La Symphonie pathétique ou la vie passionnée de Tchaïkovski''. J'étais assis derrière deux jolies grand-mères aux cheveux gris-bleutés permanentés. Elles étaient venues voir les ballets du Bolchoï, elles sont ressorties comme revenant de l'enfer.

Music Lovers est  le film-phare du cinéaste le plus fou, le plus baroque qui soit. Ici C'est Tchaïkovsky qui passe à sa moulinette. (Mahler et Liszt suivront avec moins de flamboyance...).
  

Si le génie du musicien est évoqué, en particulier dans une très percutante séquence où il joue son concerto pour piano n°1, c'est surtout dans son homosexualité refoulée et ses tentatives désespérées d'aller vers la "normalité" en épousant une de ses admiratrices que Russell puise, avec comme point d'orgue une très paroxystique scène, à base d'alcool et d'impuissance sexuelle, dans le compartiment d'un train ...  Si vous voulez de l'ellipse, du grotesque assumé, de l'excessif, de l'outrancier, du barje inspiré, de la virtuosité technique vous serez comblés au-delà de vos espérances. Richard Chamberlain y trouve le rôle de sa vie et on se rend compte combien il a été sous-employé dans sa carrière. Quant à  Glenda Jackson, actrice oubliée aujourd'hui, elle est tout simplement prodigieuse! 

Céleste Albaret - Monsieur Proust - ch. 16/31 - ‘’D’autres amours’’

 

Céleste Albaret

Monsieur Proust

ch. 16/31

‘’D’autres amours’’

lu par Lara Suyeux

Jacques Demy l’enchanteur - La trilogie Catherine Deneuve - III – Les Demoiselles de Rochefort

 

Jacques Demy l’enchanteur

La trilogie Catherine Deneuve

III – Les Demoiselles de Rochefort

Si on devait me demander : où aimeriez vous vivre, je répondrais 1) dans une chanson de Charles Trenet, 2) dans un film ‘’Les Demoiselles de Rochefort’’. Pour les jumelles, pour Danielle Darrieux (après elle on ne pourra plus dire ‘’Quel salaud’’ au cinéma) Pour Maxence tellement sûr  de finir par trouver son amour. J’espère simplement qu’il monte dans le bon camion à la fin du film. Toutes les laideurs de la vie en sont exclues Ce film est une leçon de bonheur. A user sans modération.

Céleste Albaret - Monsieur Proust - ch. 15/31 - Il n’oubliait pas ses premières amours

 Céleste Albaret

Monsieur Proust

ch. 15/31

Il n’oubliait pas ses premières amours

lu par Lara Suyeux

Donne moi un Bécaud - 22 - Les marchés de provence (1957)

 

Donne moi un Bécaud

22

Les marchés de Provence (1957)

par . L. Amade – mus. G. Bécaud

Jacques Demy l’enchanteur - La trilogie Catherine Deneuve - II – Les parapluies de Cherbourg

 

Jacques Demy l’enchanteur

La trilogie Catherine Deneuve

II – Les parapluies de Cherbourg

Qui n’a jamais versé une larme devant un écran ? Qui est resté insensible devant cette scène aussi simple qu’universelle ?

Allez , lâchez vous, pleurez un bon coup (et la musique y aide beaucoup). Finalement ça fait du bien.

Céleste Albaret - Monsieur Proust - ch. 14/31 - Du côté de la famille

 Céleste Albaret

Monsieur Proust

ch. 14/31

Du côté de la famille

lu par Lara Suyeux

Jacques Demy l’enchanteur - La trilogie Catherine Deneuve - I - Peau d’âne

 

Jacques Demy l’enchanteur

La trilogie Catherine Deneuve

I - Peau d’âne

Le charme, l’élégance, le raffinement

l’humour , la beauté.

Un conte de fées… des lilas

avec l’éblouissante, l’incomparable

Delphine Seyrig

Céleste Albaret - Monsieur Proust - ch. 13/31 - Au temps du camélia à la boutonnière

 

Céleste Albaret

Monsieur Proust

ch. 13/31

Au temps du camélia à la boutonnière

lu par Lara Suyeux

Quizz - Mort à Venise

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Poètes vos papiers - Jean Cocteau - La dame de Monte Carlo - Marianne Oswald

Quand on est morte entre les mortes,
Qu'on se traîne chez les vivants,
Lorsque tout vous flanque a la porte
Et la ferme d'un coup de vent,
Ne plus être jeune et aimée...
Derrière une porte fermée,
Il reste de se ficher à l'eau
Ou d'acheter un rigolo.
Oui Messieurs, voilà ce qui reste
Pour les lâches et les salauds.
Mais si la frousse de ce geste
S'attache à vous comme un grelot,
Si l'on craint de s'ouvrir les veines,
On peut toujours risquer la veine
D'un voyage à Monte-Carlo.
Monte-Carlo, Monte-Carlo.
J'ai fini ma journée.
Je veux dormir au fond de l'eau.
De la Mediterranée.
Après avoir vendu votre âme
Et mis en gage des bijoux
Que jamais plus on ne réclame,
La roulette est un beau joujou.
C'est joli de dire: "je joue".
Cela vous met le feu aux joues
Et cela vous allume l'oeil.
Sous les jolis voiles de deuil
On porte un joli nom de veuve.
Un titre donné de l'orgueil!
Et folle, et prête, et toute neuve,
On prend sa carte au casino.
Voyez mes plumes et mes voiles,
Contemplez le strass de l'étoile
Qui me mène à Monte-Carlo.
La chance est femme.
Elle est jalouse
De ces veuvages solennels.
Sans doute elle m'a cru l'épouse
D'un véritable colonel.
J'ai gagné, gagné sur le douze.
Et puis les robes se décousent,
La fourrure perd ses cheveux.
On a beau répéter: "je veux",
Dès que la chance vous déteste,
Dès que votre coeur est nerveux,
Vous ne pouvez plus faire un geste,
Pousser un sou sur le tableau
Sans que la chance qui s'écarte
Change les chiffres et les cartes
Des tables de Monte-Carlo.
Les voyous, les buses, les gales!
Ils m'ont mise dehors... dehors...
Et ils m'accusent d'être sale,
De porter malheur dans leurs salles,
Dans leurs sales salles en stuc.
Moi qui aurais donné mon truc
A l'oeil, au prince, à la princesse,
Au Duc de Westminster, au Duc,
Parfaitement.
Faut que ça cesse,
Qu'ils me criaient, votre boulot!
Votre boulot!...
Ma découverte.
J'en priverai les tables vertes.
C'est bien fait pour Monte-Carlo.
Monte-Carlo.
Et maintenant, moi qui vous parle,
Je n'avouerai pas les kilos
Que j'ai perdus à Monte-Carle,
Monte-Carle ou Monte-Carlo.
Je suis une ombre de moi-même...
Les martingales, les systèmes
Et les croupiers qui ont le droit
De taper de loin sur vos doigts
Quand on peut faucher une mise.
Et la pension ou l'on doit
Et toujours la même chemise
Que l'angoisse trempe dans l'eau.
Ils peuvent courir.
Pas si bête.
Cette nuit je pique une tête
Dans la mer de Monte-Carlo.
Monte-Carlo.

Céleste Albaret Monsieur Proust ch. 12/31 Son amour pour sa mère

 

Céleste Albaret

Monsieur Proust

ch. 12/31

Son amour pour sa mère

lu par Lara Suyeux

Prenons le temps de Trenet - 57 - Quand un facteur s’envole (1943)

 Prenons le temps de Trenet

C’est lundi ? Un coup de mou ?

Un Trenet et ça repart

57

Quand un facteur s’envole (1943)

par . et mus. C. Trenet